Avec cet album, Charles Soule et Giuseppe Camuncoli envoient du lourd, du très très lourd.
L'Ordre 66 a fait disparaître les Jedi de la galaxie.
Mais quelques uns ont survécu.
C'est le point d'entrée que choisi Soule pour propulser le lecteur au cœur de l’Empire, au cœur de Vador.
Dans le récit "Les ténèbres étouffent la lumière" Soule et Camuncoli nous embarque dans une traque sans merci pour retrouver l'archiviste Jocasta Nu.
"Je sais qui tu es ... Anakin Skywalker" balance Jocasta Nu à la face de Vador tout en le braquant avec un fusil dont la puissance de feu vient directement de son sabre laser.
C'est une bataille épique qui se déroule sous les yeux des lecteurs.
La fin du récit laisse entrevoir de l'espoir dans cette machine, au service de l'Empereur, qu'est devenue Vador
Et subtilement, Soule encre Vador au sein de l'Empire.
Quelle est sa place ? Quel rôle joue t il ?
J'adore cette représentation de Vador par Giuseppe Camuncoli
Cet album se termine par "La règle des cinq"
Aucun temps mort, ce récit est en prise direct avec "Les ténèbres étouffent la lumière".
Une aventure peut être plus politique ou l'on découvre toute la noirceur de Vador et de l'Empereur.
Si la situation de Vador restait confuse dans ces quelques pages, les pendules sont remises à l'heure.
"Voici le Seigneur Vador.
Il agit en mon nom. Un ordre de sa part équivaut à l'un des miens.
Assurez vous que tous vos hommes comprennent bien cela."
Oh oui ! Ils vont bien comprendre le message.
Encore un détail. Vador apparaît pour la première fois dans cette série avec le sabre que l'on connait tous !
Vous l’aurez compris, j'ai adoré cet album.
Car il décrit une page de l'histoire de Star Wars.
Celle de Vador ...