Et un de plus
Comme le dis Matika, un roman plus rythmé que le précédent, avec une intrigue un peu mieux mené.
Daley cherche même à aller "tater" un sujet qui aurait pu donner son heure de gloire à ce livre : l'esclavagisme. Connaissant toute la haine que Solo a pour les esclavagistes, le résultat aurait pu être vraiment bon. Mais encore une fois ce n'est pas poussé assez loin. (A mon goût)
Par contre on a entre les mains un roman qui donne un peu plus de place au personnage de Chewie et c'est plutôt une bonne chose. Sa "relation" avec un agent du recouvrement est tout simplement du "petit lait"
Je ne vous en dis pas plus.
Et puis le premier chapitre, Solo en "ouvreuse" de cinéma, est assez cocasse aussi
Bref il y a du bon comme du moins bon, mais ça reste un livre facile à lire, et avec plaisir
Pour finir, deux tout petits extraits :
"Il se demanda si la poisse cesserait un jour de lui coller aux basques""Plus cabossé qu'une poubelle mais aussi efficace qu'un intercepteur".On devine tout de suite de qui on parle, non ?